
Sérélys INCO CONTROL
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La ménopause est une période de vie unique qui comporte son lot de réjouissances et aussi parfois de petits aléas, comme les fuites urinaires. Alors quelles sont les solutions face à l’incontinence urinaire pendant la ménopause ?
Le cap des 50 ans signifie le début de la ménopause pour de nombreuses femmes. Les symptômes de la ménopause sont bien connus : fatigue, bouffées de chaleur, maux de tête, troubles du sommeil, irritabilité… Et bien sûr la disparition des menstruations. C’est la diminution des hormones d’estrogène et de progestérone qui provoquent ces changements dans l’organisme. La chute du taux de ces hormones peut entraîner une perte du tonus musculaire de périnée et un affaissement du plateau pelvien. L’apparition de fuites urinaires à la ménopause découle de la faible sécrétion d’estrogène et de progestérone dans la sphère uro-gynécologique.
Une conséquence méconnue de la ménopause est l’apparition de troubles urinaires. Les fuites urinaires sont fréquentes chez les femmes de 50 ans et même parfois plus tôt encore. Des fuites urinaires peuvent commencer à apparaître chez les femmes dès 40 ans.
Souvent source de honte, les fuites urinaires sont encore un tabou dans notre société. Ceci explique pourquoi beaucoup de femmes ne font pas le lien entre ménopause et apparition de troubles urinaires. Les urgences urinaires qui surviennent sans prévenir vous empêchent de vivre votre quotidien sereinement.
Il faut agir avant que vos fuites urinaires ne deviennent trop incommodantes. Un examen gynécologique ou chez un médecin généraliste permet de faire le point sur vos soucis urinaires. Un diagnostic médical permettra de faire formellement le lien entre ménopause et fuites urinaires.
La ménopause survient lorsque les ovaires stoppent leur production d’hormones estrogènes et progestérones. La diminution d’estrogène entraîne des bouleversements dans le corps. Cette hormone joue un rôle important dans la régulation du système urinaire et génital, mais aussi sur les os, les muqueuses et le cœur. La variation du taux d’estrogène dans l’organisme de la femme explique l’apparition de troubles urinaires, voire d’incontinence, pendant la ménopause. Les muscles pelviens soutiennent moins bien la vessie, l’utérus et le rectum. Le relâchement de la zone pelvienne peut entraîner des risques de prolapsus, aussi appelé descente d’organes, et des troubles de la miction. Les fuites urinaires touchent 1 femme sur 3 de plus de 50 ans.
L’incontinence d’effort peut toucher les femmes tout au long de leur vie. Inutile de culpabiliser, même les plus grandes athlètes, qui s’entrainent quotidiennement pour participer aux compétitions internationales, souffrent de ce trouble. Il est tout de même important de savoir qu’à la ménopause les femmes sont particulièrement touchées par l’incontinence d’effort. C’est une fuite urinaire involontaire qui survient pendant un effort physique.
Rire, éternuer, tousser, porter des charges lourdes et faire du sport peuvent être à l’origine de fuites involontaires d’urine. Ces activités augmentent la pression exercée sur la vessie, ce qui entraine des petites fuites. L’incontinence d’effort révèle un manque de musculature du sphincter urétral ou du périnée.
L’incontinence par impériosité se caractérise par des contractions excessives de la vessie pour expulser l’urine. La trop grande sensibilité entraine des contractions alors qu’il n’y a pas ou peu d’urine à expulser. Dans le cas d’une incontinence par impériosité, le sphincter urétral (qui ferme la vessie) est pleinement fonctionnel, mais la pression exercée est supérieure à la capacité de rétention du sphincter. Les gouttes d’urine s’échappent donc et provoquent des fuites urinaires. Les réveils nocturnes pour aller aux toilettes sont fréquents, ce qui peut aussi altérer la qualité du sommeil. Cette incontinence urinaire, très gênante, chamboule le quotidien de beaucoup de femmes en ménopause.
L’incontinence mixte combine les caractéristiques de l’incontinence d’effort et de l’incontinence par impériosité. L’incontinence mixte se manifeste par des pertes urinaires involontaires pendant l’effort, la toux et les éternuements en plus des fuites par impériosité. Souvent l’un des types d’incontinence est plus notoire que l’autre. Ce type d’incontinence a la plus grande prévalence chez les femmes ménopausées. Les principales causes de l’incontinence mixte sont l’âge, la ménopause, la constipation chronique, le surpoids et l’activité physique intense.
Il existe des solutions pour vous aider à mieux gérer vos problèmes. Voici quelques bonnes pratiques pour limiter le risque de troubles urinaires pendant votre ménopause.
Buvez régulièrement pour éviter les infections urinaires. Cela semble contre intuitif de conseiller de boire beaucoup pour lutter contre les envies fréquentes d’aller aux toilettes ? Pourtant, les fuites urinaires s’accompagnent pour certaines femmes de cystites. Il est donc essentiel de bien vous hydrater pour limiter le risque d’infection urinaire. La canneberge est un allié précieux pour prévenir les infections urinaires. Vous pouvez la boire en jus ou en prendre sous forme de comprimés de canneberge.
Faites de l’électrostimulation. Ce dispositif médical consiste à provoquer des contractions musculaires au niveau du périnée par des courants électriques minimes. Il permet de muscler les muscles de l’anus et du sphincter. L’électrostimulation est une technique efficace pour la rééducation périnéale dans le cas d’incontinence urinaire. Cette approche permet aussi de prendre conscience de votre périnée et des contractions musculaires à l’œuvre pour uriner (ou se retenir).
Commencez le biofeedback. Cette technique permet de reprendre le contrôle de votre corps par l’esprit. Le biofeedback se pratique en même temps que l’électrostimulation. L’objectif est de vous aider à reprendre le contrôle de vos muscles du plancher pelvien.
Adoptez une alimentation saine. Une nutrition saine et équilibrée riche en fruits et en légumes contribue à prévenir les troubles de la vessie. Prenez soin de votre vessie avec une alimentation adaptée aux problèmes urinaires. Il est recommandé d’éviter le café, le thé et l’alcool qui excitent l’activité de la vessie.
L’alimentation a un impact important sur la santé des femmes ménopausées. Prendre des compléments alimentaires peut vous aider à faire face aux fuites urinaires lorsqu’elles vous empêchent de vivre normalement. Vous pouvez, par exemple, prendre Sérélys INCO CONTROL. Ce complément à base d’extrait de pépins de courge et d’extrait purifiés et spécifiques de pollens favorise le bon fonctionnement de la vessie. Sa composition est spécialement conçue pour aider à maintenir une vessie saine.
Les fuites urinaires ne sont pas une fatalité pendant cette période délicate qu’est la ménopause. Des solutions existent pour vous faciliter la vie et reprendre le contrôle. Consultez un médecin généraliste ou un gynécologue pour trouver ensemble une solution adaptée à votre situation. Les fuites urinaires pendant la ménopause sont une réalité pour de nombreuses femmes. Elles ne doivent plus être un tabou.
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